/* Impression partielle . Aaaf Côte d'Azur: 2016

jeudi 15 décembre 2016

OVNIs et Conscience


Conférence de
Serge Tinland
Responsable Développement des Formations Aéronautiques d’IFAERO

Jeudi 15 décembre 2016 à 18h
Aéroport Cannes-Mandelieu

Le phénomène Ovni, en plus d’être factuellement une énigme technico-scientifique, physiquement ardue à résoudre, se double d’une énigme tout aussi notoire dans le cadre de la recherche spécialisée en psychologie et sociologie.
En effet, le phénomène, bien réel et mieux cadré aujourd’hui, présente des manifestations qui se situent à la fois dans les domaine de la physique et du psychisme.
Cette particularité très puissante semblerait permettre à «l’intelligence» qui se trouve aux commandes de ces aérodynes bien factuels de pouvoir brouiller les pistes en permanence, tant au niveau de ses apparitions dans une sphère de référence qui est matériellement la nôtre du point de vue physique, qu’au niveau de la perception de ces apparitions, en présence de témoins, qui se montre très sélective et n’apparaît toucher qu’un type de population humaine sur l’instant «T» d’une manifestation active.
Nous touchons là cette propriété élusive du phénomène qui semble « jouer » en permanence sur deux plans bien distincts : l’extériorité physique et l’intériorité psychique.
Tenter de trouver un début d’explication sur le fonctionnement mutuel de ces deux propriétés dites « opposées » pourrait simultanément nous faire réaliser un bond phénoménal au niveau technico-scientifique et nous entrouvrir les portes d’une interaction contrôlée et programmée avec le phénomène Ovni !Le dossier OVNI, UFO et autre PAN, a depuis des décennies voir des siècles, entretenu à la fois l’imagination, la crédulité, la méfiance et l’intérêt d’une partie non négligeable de la population humaine.
Aujourd’hui il semble, suite à une montagne de faits plus étonnants les uns que les autres, que ce dossier soit « le dossier » le plus important d’un point de vue scientifique que le monde n’ait jamais eu à sa portée. Pour avoir une chance de percer ne serait-ce qu’une infime partie de son mystère, il va falloir abandonner nos certitudes sur ce que l’on pensait possible ou pas. Il est donc urgent d’imaginer et mettre en œuvre sur le terrain des moyens qui n’ont pas encore été déployés d’une façon officielle, et ce, afin d’avoir peut-être une chance d’approcher au plus près cette « vérité » qui semble se cacher au travers d’un phénomène aussi troublant qu’insaisissable !
Phenix Project a été pensé en ce sens pour essayer de répondre à certaines questions que pose ce dossier.



Serge Tinland signe le livre d'Or
Serge Tinland a une formation de plongeur professionnel, moniteur fédéral (MF1), moniteur d’état en plongée sous-marine (BEES1), ainsi que scaphandrier lui ayant permis d’exercer pendant 11 années, en France et à l’étranger, un métier alliant l’aventure humaine et technologique sous toutes ses formes.
En novembre 2002, Serge Tinland rejoint l’équipe IFAERO CCI (Institut de Formation Aéronautique de la Chambre de Commerce et d’Industrie Nice Côte d’Azur) en tant que responsable du développement des Formations aéronautiques et responsable Opération et Technical Manager de l’ATO C525.
Son travail consiste à manager et maintenir les agréments du FTD C525 de l’ATO C525 IFAERO CCI. mais aussi définir, proposer et développer des activités de formations initiales et continues liées au monde de l’aérien destinées à une population d’étudiants, de personnes à la recherche d’un premier emploi ou d’une reconversion professionnelle, ainsi qu’à des personnels déjà en poste au sein de sociétés liées à l’aéronautique ou d’une compagnie aérienne (personnels navigants ou au sol) désireux ou obligés de poursuivre un cycle de formation spécifique à leurs activités.
Une autre partie de son activité consiste aussi à étudier pour IFAERO CCI de nouveaux projets de formations aéronautiques, comme l’étude et l’implantation d’un nouveau centre de formation aéronautique sur simulateur de vol professionnel aviation d’affaires CESSNA C525 basé en région PACA, sur la plate-forme aéroportuaire de Cannes-Mandelieu, ayant comme objectif de répondre aux besoins en formations professionnelles, initiales et continues, des compagnies aériennes ou propriétaires privés implantés dans le sud de la France, et le reste du monde. L’ouverture officielle d’IFTC (IFAERO Flight Training Center) a eu lieu le 10 juillet 2014.

Je reste à la disposition des personnes présentes à cette conférence afin de leur fournir plus de données et d'explications si besoin.
L'ensemble de mes coordonnées se trouve dans la présentation que vous pouvez utiliser à votre convenance (cliquer sur le titre suivant)
Serge Tinland


Diaporama de la conférence




lundi 28 novembre 2016

Perspectives pour une aviation légère autonome

Avion électrique E-Fan
Photo Patrick Gilliéron

Conférence de
Patrick Gilliéron
Membre de la commission Aviation légère et machines dérivées
 de l'Association aéronautique et astronautique de France (3AF)


Lundi 28 novembre 2016 à 18h

Aéroport Cannes-Mandelieu


Des ordres de grandeur sont estimés pour les énergies nécessaires à des vols électriques d'une heure en conservant quinze minutes de sécurité.
Pour des énergies massiques réellement utilisables de batteries conditionnées fixées à 150 Wh/kg et un avion-école monomoteur, la masse embarquée de batteries ne peut dépasser 200 kg et conditionne des valeurs à ne pas dépasser pour le coefficient de traînée, la vitesse de vol et la masse de l'avion. Différentes solutions sont ensuite proposées pour recharger les batteries d'avions électriques au sein d'un aéroclub et d'un aérodrome.
Les résultats montrent qu'il est possible de produire l'énergie journalière nécessaire aux besoins de dix aéroclubs disposant chacun de trois avions électriques.
Patrick Gilliéron


Patrick Gilliéron est ingénieur en aérodynamique, docteur en mécanique et habilité à diriger des recherches (HDR). Il travaille depuis plus de 35 ans sur l'analyse des structures décollées et la recherche de solutions pour réduire les pertes énergétiques, libérer le Design automobile des contraintes aérodynamiques et améliorer la sécurité lors des phases transitoires. Chargé d'enseignement puis professeur associé au Conservatoire National des Arts et Métiers de Paris de 1987 à 2001, directeur de recherche associé au CNRS de 2001 à 2004 et enseignant/chercheur associé à l'école polytechnique d'Orléans jusque fin 2010, il crée et dirige un groupe de recherche en mécanique des fluides et aérodynamique au sein de Renault entre 2002 et 2011. Il poursuit aujourd'hui ses travaux en qualité de chercheur indépendant.Il débute sa formation aéronautique en 1970 par la pratique du planeur et passe son brevet de pilote avion en 1977 sur Piper PA19 à l'aéro-club Gaston Caudron de Chavenay. À l'aéro-club Renault de Chavenay depuis 1991, il pratique l'aviation de montagne depuis plus de 10 ans. Il est auteur ou co-auteur de plusieurs publications et ouvrages traitant d'aérodynamique et d'aviation de loisir.
Adhérent à la 3AF, il collabore aux travaux des commissions Aviation Légère et Machines Dérivées, Aérodynamique et du groupe Ile-de-France.



mercredi 26 octobre 2016

ExoMars - Les défis technologiques de l’atterrissage sur une autre planète

Exomars TGO en approche de Mars en octobre 2016
Crédit Thales Alenia Space
Conférence de
Denis Lebleu
Ingénieur Thales Alenia Space

Mercredi 26 octobre 2016 à 18h

Auditorium du Space Camp
5 allée des Cormorans
Cannes-la-Bocca

Plan d'accès sur Google Maps

Le 14 mars dernier une fusée Proton-Breeze lançait avec succès, depuis Baïkonour (Kazakhstan) en direction de Mars, le vaisseau de la première mission du programme ExoMars établi en coopération entre l'agence spatiale européenne (ESA), et Roscosmos, agence spatiale russe.
En complément de la conférence 3AF du 24 mai 2016, et suite à l’atterrissage du Lander Schiaparelli, cette conférence présentera les technologies mises en œuvre par Thales Alenia Space pour se poser sur Mars.
Après un rappel du programme ExoMars, cette conférence abordera la problématique de l’atterrissage sur une autre planète tellurique disposant d’une atmosphère, et les technologies développées pour atteindre cet objectif.
En conclusion, cette présentation abordera un questionnement : en quoi Mars ressemble à la Terre et qu’a-t-elle à nous apprendre ?
Denis Lebleu
Cliquer sur le titre pour voir ExoMars sur Wikipédia

Denis Lebleu signe le livre d'Or
Après des études d’ingénieur en thermique, Denis Lebleu a exercé quelques années dans le domaine des lanceurs avant de jeter son dévolu sur les satellites à Cannes depuis 1996.
Il œuvre ensuite sur divers projets scientifiques, et a participé aux projets Martiens Européens depuis 1999 au sein de Thales Alenia Space.
Il fera quelques détours par les rentrées atmosphériques avec la mission Huygens, puis en ingénierie système, avant de participer à la Mission ExoMars depuis son commencement en 2003.
Il est responsable technique du Système d’Entrée et Descente (EDS) de Schiaparelli, et a participé à la fin  du développement du TGO, second véhicule de la mission 2016 du programme ExoMars.
Poursuivant son expertise des thèmes atmosphériques, il est aujourd’hui ingénieur système sur le projet StratobusTM de Thales Alenia Space, en charge de la météorologie, parmi d’autres sujets tous plus passionnants les uns que les autres.


Le 19 octobre 2016, les véhicules arrivent dans l'environnement martien :
  • l'orbiteur TGO est parfaitement mis en orbite autour de la planète
  • la sonde Schiaparelli se pose sur la planète, mais la télémétrie est perdue durant la séquence d’atterrissage automatique.
Le conférencier et les ingénieurs et techniciens ayant participé au programme, répondront à toutes vos questions, tenant compte des éléments publiés officiellement par l'agence spatiale européenne.


ExoMars - Les défis technologiques de l’atterrissage sur une autre planète

Exomars TGO en approche de Mars en octobre 2016
Crédit Thales Alenia Space
Conférence de
Denis Lebleu
Ingénieur Thales Alenia Space

Mercredi 16 octobre 2016 à 18h

Auditorium du Space Camp
5 allée des Cormorans
Cannes-la-Bocca

Plan d'accès sur Google Maps

Le 14 mars dernier une fusée Proton-Breeze lançait avec succès, depuis Baïkonour (Kazakhstan) en direction de Mars, le vaisseau de la première mission du programme ExoMars établi en coopération entre l'agence spatiale européenne (ESA), et Roscosmos, agence spatiale russe.
En complément de la conférence 3AF du 24 mai 2016, et suite à l’atterrissage du Lander Schiaparelli, cette conférence présentera les technologies mises en œuvre par Thales Alenia Space pour se poser sur Mars.
Après un rappel du programme ExoMars, cette conférence abordera la problématique de l’atterrissage sur une autre planète tellurique disposant d’une atmosphère, et les technologies développées pour atteindre cet objectif.
En conclusion, cette présentation abordera un questionnement : en quoi Mars ressemble à la Terre et qu’a-t-elle à nous apprendre ?
Denis Lebleu
En cliquant sur le titre, voir ExoMars sur Wikipédia

Après des études d’ingénieur en thermique, Denis Lebleu a exercé quelques années dans le domaine des lanceurs avant de jeter son dévolu sur les satellites à Cannes depuis 1996.
Il œuvre ensuite sur divers projets scientifiques, et a participé aux projets Martiens Européens depuis 1999 au sein de Thales Alenia Space.
Il fera quelques détours par les rentrées atmosphériques avec la mission Huygens, puis en ingénierie système, avant de participer à la Mission ExoMars depuis son commencement en 2003.
Il est responsable technique du Système d’Entrée et Descente (EDS) de Schiaparelli, et a participé à la fin  du développement du TGO, second véhicule de la mission 2016 du programme ExoMars.
Poursuivant son expertise des thèmes atmosphériques, il est aujourd’hui ingénieur système sur le projet StratobusTM de Thales Alenia Space, en charge de la météorologie, parmi d’autres sujets tous plus passionnants les uns que les autres.

mardi 20 septembre 2016

L'impression 3D, technologie additive déjà sur orbite

Support de cornet RF réalisé en fabrication
 additive lit de poudre aluminium.
Taille de l'ordre de 30 cm
Crédit photo TAS
Conférence de
Florence Montredon
Ingénieur Thales Alenia Space Cannes

Mardi 20 septembre 2016 à 18h

Auditorium du Space Camp
5 allée des Cormorans
Cannes-la-Bocca

Plan d'accès sur Google Maps


La fabrication additive, connue du grand public sous le nom d’Impression 3D, s’impose peu à peu comme une technologie incontournable pour les pièces complexes et quasi uniques dont le secteur du spatial est friand.
Gain de masse, liberté de design, flexibilité… ces technologies à base de poudre ou de fil ont de nombreux atouts pour séduire l’ingénieur d'aujourd’hui.
Thales Alenia Space ne s’y trompe pas et figure parmi les pionniers de l’utilisation de la fabrication additive sur les satellites, avec déjà quelques pièces en orbite et de nombreuses autres qualifiées ou en développement.
La conférence présente d’abord les procédés additifs, leur principe de fonctionnement et leur spécificités puis en montre les bénéfices et les enjeux à travers des cas d’application spatiaux d’actualité.
Florence Montredon
Voir fabrication additive sur Wikipédia en cliquant sur le titre


Florence Montredon
signe le livre d'Or
Ingénieur en Chimie et Physique Industrielles, Florence Montredon a d’abord travaillé quelques années dans une PME parisienne en conseil technique et contrôle qualité sur des produits adhésifs.
En poste depuis 2000 chez Thales Alenia Space à Cannes au service Technologies, elle est en charge des développements matériaux et procédés d’abord sur les adhésifs puis sur les matériaux métalliques.
La fabrication additive apparaît dès 2009 comme une technologie prometteuse pour le spatial. Après de premiers développements enthousiasmants, la technologie prend son essor chez TAS et Florence Montredon s’y consacre à temps plein depuis 2015.
Elle a aussi un rôle de coordinateur des développements en fabrication additive pour l’ensemble des entités de Thales Alenia Space et assure le relais auprès du groupe Thales.




mardi 24 mai 2016

Exomars percera-t-il un des mystères de la vie sur Mars ?



Conférence de
Jean-Jacques Juillet
Thales Alenia Space
Directeur des programmes Européens science, exploration et observation de la Terre
&
Jean-Louis Heudier
astronome à l'OCA (ER)
Vice-président 3AF Côte d'Azur
écrivain, acteur de théâtre

Mardi 24 mai 2016 à 18h

Auditorium du Space Camp
5 allée des Cormorans
Cannes-la-Bocca

Plan d'accès sur Google Maps

Depuis l'Antiquité, la planète Mars fascine les hommes. Son mouvement et sa couleur en ont fait une cible privilégiée pour les astronomes qui, tentant de percer ses mystères, ont découvert la nature du système solaire. C'est en effet l'étude du mouvement de Mars qui permit à Kepler de trouver les lois du mouvement des planètes. C'est encore l'étude de Mars qui permit à Cassini de mesurer la distance de la Terre au Soleil. C'est sur Mars qu'on crut découvrir la vie extraterrestre. C'est encore Mars qui est la destination de grandes expériences de l'exploration spatiale. Mais que nous révèle Mars actuellement ? Pourquoi cette fascination ? Pourquoi aller sur Mars ?
Le 14 mars dernier une fusée Proton-Breeze lançait avec succès, depuis Baïkonour (Kazakhstan) en direction de Mars, le vaisseau de la première mission du programme ExoMars établi en coopération entre l'agence spatiale européenne (ESA), et Roscosmos, agence spatiale russe.
ExoMars 2016 approchera la planète Mars en fin d’année. Le vaisseau spatial, composé d’un orbiteur et d’un atterrisseur, entamera sa mission d’exploration scientifique. L’orbiteur, TGO pour Trace Gas Orbiter, analysera la composition gazeuse de l’atmosphère, à la recherche des sources mystérieuses de méthane, et approfondira la connaissance topographique 3D de la planète. L’atterrisseur, Schiaparelli, après séparation, testera la rentrée dans l’atmosphère de Mars avant de déposer sur le sol martien une petite station scientifique.
La conférence présente les deux aspects, astronautique et scientifique, et évoque la seconde mission, prévue en 2020, destinée à déployer sur Mars un « Rover » d’exploration au sol.
Thales Alenia Space, maître d’oeuvre industriel du programme, a aimablement prêté son concours au groupe régional 3AF.
Jean-Jacques Dechezelles & Jean-Louis Heudier
Voir programme ExoMars sur Wikipédia en cliquant sur le titre

Jean-Jacques Juillet  débute sa carrière en 1981 à Cannes dans le service des générateurs solaires d’Aérospatiale. De 1986 à 1995 il contribue au développement, essais et opérations du satellite d'astronomie ISO pour le compte de l’Agence Spatiale Européenne ESA. Il débute ensuite les études d’avant-projet du satellite FIRST qui deviendra Herschel et du satellite Planck. Après un séjour de 18 mois à Friedrichshafen comme adjoint au chef de projet Rosetta pour la phase B, il rentre à Cannes et devient chef de projet Herschel / Planck, le plus gros des programmes scientifiques qui ait été engagé par l'agence ESA. Depuis 2006 il est directeur des programmes Européens science, exploration et observation de la Terre de Thales Alenia Space à Cannes.



Jean-Louis Heudier est un astronome qui a exercé à l'observatoire de la Côte d'Azur de 1967 à 2009. De 1974 à 1989, il dirige le télescope de Schmidt du CERGA au plateau de Calern, le plus gros appareil photographique d'Europe. À partir de 2006, il dirige Observatorium, pôle de diffusion de culture scientifique implanté à l'observatoire de Nice. Il prend sa retraite en septembre 2009.
Jean-Louis Heudier est vice-président du groupe Côte d'Azur de l'Association aéronautique et astronautique de France (3AF) et président d'honneur de l'association PARSEC. Depuis sa retraite il s'est investi dans l'écriture de pièces de théâtre, racontant l'astronomie, qu'il interprète.


Jean-Jacques Juillet et Jean-Louis Heudier signent le livre d'Or




mardi 22 mars 2016

Airbus A350 : les essais A350-900 et A350-1000

 Décollage de l'Airbus A350-900 XWB pour son premier vol.
Photo libre de droit Wikipedia, auteur Duch.seb
Conférence de
Hugues van der Stichel
VP Réglementation essais en vol
Pilote d'essais expérimental
Pilote projet A350

Mardi 22 mars 2016 à 18h
Aéroport Cannes-Mandelieu
Salle Saint-Exupéry
Aérogare Cannes Mandelieu sur Google Maps


Attention, conférence reportée à une date ultérieure cause gréve transports aériens.


Le premier vol de l’Airbus A350-900 a eu lieu en juin 2013 pour aboutir à une certification en septembre 2014.
Après avoir partagé les essentielles caractéristiques et nouveautés de l’avion, le conférencier parcourt la campagne d’essais de développement et de certification de la première version de cet avion, et évoque la préparation de la campagne de la deuxième version l’A350-1000 qui doit prendre son envol cette année.
Outre la définition de l’avion en général, il présente les innovations, et notamment la philosophie cockpit. il détaille les différents tests précurseurs à une campagne d’essais d’un nouvel avion, essais au sol et sur avion banc d’essais, notamment pour les moteurs.
Hugues van der Stichel
Hugues van der Stichel
Résumé :
  • Ingénieur et pilote d’essais au CEV 1990-2000
  • Pilote d’essais Airbus depuis 2000
  • Directeur des essais de développement Airbus 2007-2012
Entrée gratuite dans la limite des places disponibles
avec contrôle d'identité à l'entrée
 après réservation le lundi 21 mars au plus tard
auprès de Anne Varennes :Tél. 04 9219 4808 / 4800
ou messagerie :
anne.varennes@soditech.com

(en précisant votre appartenance à des associations, des entreprises, ou citant les medias ou des réseaux sociaux sur lesquels vous avez trouvé l'annonce de cette conférence)
qui accuse réception du mail valant confirmation d'inscription.


mardi 1 mars 2016

Stratobus : entre le drone et le satellite

Stratobus, crédit Thales Alenia Space
Conférence de

Jean-Philippe Chessel

Responsable du programme Stratobus chez Thales Alenia Space

Mardi 1er mars 2016 à 18h
Auditorium du Space Camp
5 allée des Cormorans
Cannes-la-Bocca
Plan d'accès sur Google Maps

Stratobus est un concept de plateforme stratosphérique autonome à mi-chemin entre le satellite et le drone.
Ce projet, sélectionné par le ministère de l’Industrie et du Numérique dans le cadre de la Nouvelle France Industrielle, est réalisé avec un ensemble de partenaires dont Zodiac Marine et le CEA-Liten. Thales Alenia Space en est le maître d’œuvre industriel.
Sa durée de vie dans la stratosphère est de 5 ans.
Le projet Stratobus est labellisé par le Pôle de Compétitivité Pégase en charge de lancer la filière dirigeables en France.
Le produit sera disponible sur le marché à horizon 2020.
Jean-Philippe Chessel


Jean-Philippe Chessel signe le livre d'Or
Jean-Philippe Chessel  est diplômé de l’Ecole Centrale Marseille (1983), titulaire d’un diplôme d’Etudes Approfondies en optique et traitement du signal (1985) et docteur en Science en optique des couches minces (1987).
Il démarre sa carrière à aerospatiale en 1987 en charge de développer le sous-système spectro-imageur du programme MERIS d’instrument optique spatial de l’ESA (éléments optiques, plan focal de détection, électronique image, alimentation de puissance, intégration et tests).
A partir de 1993, il prend diverses responsabilités dans le domaine des Optiques spatiales, dont Hélios 1 pour la DGA, le spectromètre IASI et l’instrument optique Pléiades pour le CNES, l’instrument scientifique GOCE pour l’ESA et l’instrument optique militaire de très haute résolution pour la DGA.
A partir de janvier 2013, il occupe les fonctions de coordination des moyens industriels et de responsable du plan de continuité des activités industrielles de Thales Alenia Space en cas d’événement majeur, au sein du Méta Centre de Compétences.
Dès sa création fin 2009, il est responsable du projet Stratobus , et ce dans le périmètre de sa fonction de Chef de Projet Pôle de Compétitivité Pégase pour le compte de Thales Alenia Space. Il est nommé responsable de la ligne de Produit Stratobus en mars 2015.

En cliquant sur le titre vous trouvez les explications de Thales ainsi qu'un clip vidéo de présentation de Stratobus